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    Bonjour mon petit fennecs des neiges ! 

    Comme je m'ennuyais, j'ai créé un calendrier de l'avent pour le blog ! Tous les jours jusqu'à Noël, découvrez donc des images, des vidéos, jeux et autres articles concernant noël ! ^^ 

    Aujourd'hui, découvrez donc certaines images de Noël ! Évidemment, les surprises gagneront en intérêt au fil des jours ! 

    J'espère que vous jouerez le jeu ! ;D N'hésitez pas à me dire si vous avez des idées. Je suis toute ouïe ♥ 

    Découvrez la galerie d'image par ici, alimentée minimum une fois par jour : http://akari-chan.ek.la/calendrier-de-l-avent-gallery6746

    Akari.

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    13 commentaires
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    Bonjour mes petits fennecs des neiges ! 

    Je vous livre un petit article express, car je suis tombée sur ce clip sur Mtv l'autre jour et franchement je l'ai adoré car il respire la joie de vivre ! (la musique aussi : idéale pour vos playlist de motivation ou spécial remontage de moral). Du coup je partage avec vous ^^ En tous cas, Ian McKellen est juste excellent et adorable dans cette vidéo, on a presque envie d'avoir le même à la maison. En plus ça change des meufs qui dansent autour d'une piscine niveau clip ! ♥ 

    Remarquez qu'il s'agit bien d'un artiste britannique et non américain ! C'est toujours bon à savoir ~ 

    Et hop, je partage les paroles ! 

    "Listen To The Man"

    I feel your head resting heavy on your single bed
    I want to hear all about it
    Get it all of your chest, oh
    I feel the tears and you’re not alone, oh
    When I hold you, well I won’t let go, oh

    Why should we care for what they’re selling us anyway?
    We’re so younger than you know, whoa
    You don’t have to be there, babe
    You don’t have to be scared, babe
    You don’t need of plan of what you wanna do
    Won’t you listen to the man that’s loving you

    Your world keeps spinning and you can’t jump off
    But I will catch you if you fall I can’t tell you enough
    I hate to hear that you’re feeling low
    I hate to hear that you won’t come home

    Why should we care for what they’re selling us anyway?
    We’re so younger than you know, whoa
    You don’t have to be there, babe
    You don’t have to be scared, babe
    You don’t need of plan of what you wanna do
    Won’t you listen to the man that’s loving you, whoa, whoa, whoa.

    Easy, easy and a one, two, three, oh
    Easy, breazy if you come with me, oh
    Easy, easy and a one, two, three, four, five, six, seven eight, nine, nine, nine, nine.

    You don’t have to be there, babe
    You don’t have to be scared, babe
    You don’t need of plan of what you wanna do
    Won’t you listen to the man that’s loving you, whoa, whoa, whoa

    You don’t have to be there, babe
    You don’t have to be scared, babe
    You don’t need of plan of what you wanna do
    Won’t you listen to the man that’s loving you, whoa, whoa, whoa

    >> Source paroles !

    Voilà voilà ! En plus je sais pas pourquoi, mais les paroles de cette chanson me font étrangement penser à celle de Tom Waits Come up to the House... Bref.

    D'ailleurs c'est fou comme je parle des artistes que je découvre par hasard mais jamais des artistes dont je suis une fan absolue. Diantre alors.

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  • Donna Tartt - Le Maître des illusions.

    Bonjour mes petits fennecs des neiges ! 

    Aujourd'hui, j'ai décidé de dépoussiérer un peu mon blog et cette rubrique en vous parlant de ma dernière lecture : Le maître des illusions, par Donna Tartt. J'avoue que je n'en avais absolument jamais entendu parlé avant que Pocket sorte des éditions collector... 

    Mais le Maître des illusions, ça parle de quoi ? Il ne s'agit ni d'un roman de Fantasy, ni d'un roman d'horreur comme pourrait le laisser suggérer la phrase inscrite sur la couverture "Les choses terribles et sanglantes sont parfois les plus belles", mais d'une sorte de whodunnit. Nous y suivons Richard Papen, un jeune californien au passé jetable qui parvient à rentrer à l'université de Hampden, dans le Vermont. Comme il ne se plaisait ni dans sa ville natale, ni ne s'entendait avec ses parents, cette université s'est vite présentée comme une porte de sortie inespérée. Mais alors qu'il n'étudie là-bas que depuis quelques mois, il remarque un professeur pour le moins étrange : Julian. Ce dernier est en réalité un professeur de grec ancien qui n'as pas une super réputation au sein de la petite université, car il ne fait rien comme tout le monde et ne prend que cinq élèves, choisis par ses soins. Et ces élèves, on les remarque vite : plutôt extravagants, traînant dans un petite groupe très restreint, on peut dire qu'ils ne passent pas inaperçus !

    Malgré les avertissements de son tuteur, le Dr. Roland, notre ami tente de convaincre le professeur de le prendre dans son cours. Après quelques ratés, et lorsqu'il avait presque fini par renoncé, il fini par arriver à intégrer le cours, même s'il n'en avait plus trop envie désormais... Car sur les cours de Julian, cela signifie renoncer à tous ses autres cours, mais aussi à une intégration normale au sein du campus. Mais bon, il s'agit d'une proposition qu'on ne vous fait qu'une fois, d'une proposition qu'on ne refuse pas... 

    Mais malgré leur apparence, Richard devine très vite que quelque chose ne va pas. Au fur et à mesure qu'il reste avec ses nouveaux camarades, il semblerait qu'ils aient quelque chose à cacher : quelque chose de secret, quelque chose de lourd... Il était vraiment à mille lieux d'imaginer ce qu'aller lui coûter sa curiosité !  

    Franchement, quand j'ai vu le prologue, j'ai vraiment eu très peut pour mes 8€90... Car il s'agi bien d'une histoire de meurtre ! Mais pas d'un whodunnit où on suit je ne sais quel tueur en série psychopathe : dans ce livre, les tueurs, ils sont comme vous et moi. Des gens normaux. Tout comme la victime... Tout n'est vraiment que hasard, et peut être bien que dans d'autres circonstances les événements n'auraient pas tourné au drame. Mais il y'a des choses contre lesquelles on ne peut rien faire... 

    Ici, l'acte nous est vraiment présenté comme quelque chose d'une glaçante banalitude, pouvant être fait par n'importe qui; et je dois avouer que la vérité de cette proposition est aussi dérangeante que fascinante. On sent que l'auteur à pris un malin plaisir à disséquer ce qui pouvait conduire à faire une telle chose et c'est juste fascinant. Surtout que les personnages son super intéressants eux aussi... Bref, on se laisse vitre prendre au jeu. Les 790 pages sont passés comme un éclair. 

    Le tout est très largement saupoudré de références à Platon ou d'autres philosophes grecs, mais loin d'être lourd et intellectuel, j'ai trouvé ça plutôt pas mal. D'ailleurs, spoilers spoilers, le titre est une référence à Platon qui s'accorde très bien aux personnages, une fois qu'on a fini le bouquin. Vraiment. Je m'étais aussi demandé pourquoi ils avaient mis une page cartonnée orange sous la couverture de l'édition collector : on le découvre dans le premier chapitre. Personnellement, j'ai bien aimé l'effet Private Joke que ça créé, c'est pas mal. 

    Brefouille. Si vous avez 8€9 et un peu de temps disponible, foncez me lire ça les amis. C'est du bon. Du très bon. Si vous l'aimez autant que moi, il vous faudra à vous aussi plusieurs jours pour sortir du ravin.

    "Il était difficile de savoir qu'il y ait eu un tel tapage à propos d'un acte dont j'étais partiellement responsable, encore plus difficile de croire que j'aie pu traverser tout cela - les caméras, les uniformes, les foules noires grouillant sur le mont Cataract comme des fourmis dans un bol de sucre - sans être le moins du monde soupçonné. Mais le traverser était une chose : en sortir, malheureusement, s'est révélé très différent, et bien que j'aie cru à un moment avoir quitté à jamais ce ravin lors d'un après-midi d'Avril, il y a bien longtemps, je n'en suis plus tellement certain."

     

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    14 commentaires
  • *apparaît* 

    Bonjour les fennecs ! 

    Je sais que je ne poste plus rien sur le blog ces derniers temps, et je n'écris pas pour vous dire que je suis désolée (car je ne le suis pas) et que ça risque de durer un petit peu ! 

    Comme le hérisson ou beaucoup d'autres animaux, le blog entre un peu en hibernation en ce début d'hiver. D'ailleurs, vous avez remarqué que j'ai laissé tomber les couleurs criardes de l'automne et l'été pour un habillage hivernal, plus calme ? C'est sans doute le cas si vous passez régulièrement par ici... En tous cas j'espère que vous l'aimez, même s'il reste deux trois détails à fignoler ! :)

    Et pour mon absence en cours et à venir... Déjà une semaine c'est quasiment rien (surtout qu'il y'a eu un nouveau thème ! Comment ça ça compte pas ?). 

    Pour le pourquoi du comment, Jeudi dernier avait lieu ma journée à l'université de Gnaniperp, que vous ne connaissez sûrement pas car mon bled est super réputé, wesh (à moins que vous bossiez au Cnrs, whoaw quoi. J'vous donne des indices sur ma localisation là, vous devriez être en train de noter pour envoyer tout à au Fbi ou au gouvernement Russe, guerre froide powa). Mais comme je suis une éternelle poisseuse, j'ai dû attendre mon bus pendant plus d'une heure toute seule et fatiguée... Mais comme je le suis pas trop, y'avait une Fnac juste en face et donc je suis allée m'acheter non pas une BD mais un livre... Et j'en suis tombée amoureuse ! ♥ Lui et moi c'est l'amour fou, on ne se quitte plus depuis. Bien que discret, il m'accompagne pendant mes journées au lycée et, même s'il n'appartient pas à mon établissement, il arrive à se faufiler pour m'accompagner tout en douceur pendant mes rares heures d'ennui. Il m'accompagne jusqu'à la maison le soir, où nous passons de longues soirées en tête à tête autour d'une boisson chaude quelconque, en toute intimité dans mon lit. Parfois, nous nous prenons d'un élan de folie et, lorsque la maison dort, nous restons éveillés pour un moment d'intimité ultime et secret, bien au chaud sous ma couette. 

    Bref, je  commence à raconter de la merde.  Je vous aime. Bisous.

    PS : Si je dis que ça risque de durer, c'est parce que j'en ai acheté 2, en fait, des livres. Je viens de me faire 460 pages en 4 jours de cours...

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    23 commentaires
  • Bonjour mes petits fennecs des neiges !

    Aujourd'hui, je vous fait un article riche en contenu, connaissances et philosophie : nous allons répondre à une question que vous vous posez sûrement, que la France se pose, voir plus, que l'humanité se pose !

    Et oui, la question du jour est : Combien de a faut-il pour qu'on ne trouve plus rien sur Google ? Maintenant que vous savez tout, arrêtons de bavasser et faisons une découverte majeure pour l'humanité.

    Combien de a faut-il pour qu'on ne trouve plus rien sur Google ?

    Comme vous pouvez le voir, quand on tape un seul a, on trouve beaucoup de résultats : aucune information sur cette magnifique lettre... Mais par contre, on peut commander du bn vin pour se bourrer la gueule, et ça c'est cool ! :D Sinon on peut passer faire un tour de tous les trucs qu'on achètera jamais sur le géant de la distribution Amazon. Génial ! On obtient un total de 1 515 000 résultats, autant dire que si vous avez une journée à perdre, vous pouvez vous amuser à faire le tour des résultats !....

    Lire la suite...

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