• Bonsoir mes petits fennecs des neiges !

    Nous nous retrouvons aujourd’hui avec un peu de retard pour un nouvel article dédié au projet Eklabugs. Pour ceux qui ne connaissent pas encore, il s’agit d’une initiative visant à ce que plusieurs blogueurs inscrits publient le même jour et à la même heure, un article sur un thème donné.  Pour cette session de Juillet, le thème était : les héros. Étant déjà très en retard, je vais faire dans l’originalité en parlant de héros qui m’ont accompagné pendant de nombreuses années de ma vie.

    [Eklabugs] Les hérosNan, pas toi, éros.  (Oui, cette grande image juste pour faire cette blague pourrie)

    Ce qui me suivent sur Twitter le savent sans doute déjà : je sus une grande fan de Harry Potter. Mon blog ne s’y prête pas vraiment, donc je n’avais pas encore eu l’occasion d’en parler ici… Mais quand je pense à des héros de fiction, ce sont de suite les personnages de cette saga qui me viennent à l’esprit. Pas forcément Harry, qui pourtant est le héros, dans les deux sens du terme : non seulement il est le personnage principal, mais il est aussi le gars un brin naïf, impulsif et chevaleresque qui va sauver le monde des forces du mal. C’est pourquoi je ne parlerai pas de lui ici : cela reviendrait quasiment pour moi à évincer les autres personnages de la saga, que j’apprécie nettement plus.

    [Eklabugs] Les héros

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    24 commentaires
  • Bonjour mes petits fennecs des neiges ! 
    Aujourd'hui nous avons un article un peu spécial, puisque nous invitons Matilde du site Japon.marovasco.fr. 
    Bonne lecture, et a bientôt pour un article rédigé de ma main !

    ***

    Les kimonos sont les vêtements traditionnels des Japonais, il existe diverses variétés que nous voulons bien tous savoir, mais aujourd'hui, nous allons vous faire découvrir le yukata un type de kimono à la fois traditionnel et moderne.

    Bref historique :

    Quand les Japonais se rendaient au bain public, surtout à partir du IVe siècle, ils portaient une sorte de kimono léger et long pouvant couvrir tout le corps : le yukata. Ce dernier absorbait la sueur et c'était seulement pour cela qu'on le portait. On ne considérait le Yukata comme vêtement normal, c'est-à-dire que l'on pouvait le porter au quotidien, qu'à partir du XVIIe siècle au Japon.

    De nos jours, ce kimono qui a existé depuis des siècles est devenu un habit renommé pour les différentes festivités japonaises, si on ne cite que la fête de ennichi (fête célébrée dans les sanctuaires ou dans les temples), du bon-odori (la fête des Morts), et surtout pendant les différentes fêtes estivales comme le hanami. Et même dans des pays autres que le Japon, où il y a des hôtels de style japonais, on portait le yukata comme étant un pyjama : on a vraiment l'impression d'être dans une auberge traditionnelle japonaise appelée aussi ryokan.

    A propos du yukata:

    Le yukata est un kimono pouvant être porté par les hommes que par les femmes au Japon. Les détails, les motifs et la couleur font ainsi la différence.

    À la découverte du Yukata, le kimono de l'été Japonais
    Deux japonaises en yukata

    De quoi sont faits les yukata ?

    Au tout début, les yukata étaient faits en chanvre, un type de tissu organique, puis en lin et aujourd'hui ils ne sont faits qu'en coton.

    Quelles sont les différentes parties d'un yukata ?

    Le yukata n'est qu'une seule couche de vêtement, il n'y a ni de haut ni de bas, mais c'est un habit uni. Voici donc les deux parties qui le composent :
    Le okumi : situé sur le devant, c'est la pièce de tissu verticale, partant de l'encolure au bas avant du yukata , de part et d'autre de l'ouverture.
    Le furi : c'est la fente verticale dans les manches et pour les yukata féminins il est situé au niveau des aisselles.
    Les accessoires accompagnant le yukata

    • Pour que votre tenue japonaise soit complète, n'oubliez pas alors ces accessoires qui vont avec :
       la ceinture est sous forme d'un ruban de tissu (15cm de large environ et d'une longueur variable), ne présentant aucun fermoir ni boucle, servant à fermer le yukata comme tous les kimonos traditionnels japonais. On le nomme le «obi».
    • Les «geta» ou les fameuses sandales japonaises qui sont faites uniquement de bois, mais n'empêche qu'actuellement on peut retrouver des geta en plastique. Il y a toute une variété de types et de formes comme ceux à deux ou trois dents, ceux pour les étudiants, ceux qui sont fabriqués uniquement pour produire des bruits spécifiques en marchant... mais à vous de choisir lequel vous fait vibrer le plus !

    À la découverte du Yukata, le kimono de l'été Japonais
    Un type de geta à deux dents

    • Pour les femmes, à ne pas oublier les petits sacs «kinchaku» assortis à vos yukata.
    • Le mouchoir «tenugui» qui est très conseillé pour son utilité, par exemple pour essuyer la sueur ou bien encore pour le mettre sur ses genoux quand on va manger. 
    • Enfin «l'uchiwa»: le petit éventail.

    Pourquoi le yukata en été ?

    Distingué par la légèreté de son tissu, le yukata est très renommé pour être porté en été au Japon, pendant les divers festivals. En effet, ses couleurs vives et chamarrées, les divers motifs floraux et les coiffures des femmes adaptées à leurs yukata reflètent tous la détente et l'apaisement de l'été.

    Le choix d’un yukata et des accessoires ne dépend que de la préférence et du goût de chacun, si vous pensez à voyager au Japon surtout en été, notre conseil est de porter le yukata au moins une fois, c'est tout un art et cela mérite d'être expérimenté.

    Comment mettre un yukata ?

    Comme il a été dit précédemment, le yukata ne présente qu'une seule couche de vêtement, il est donc plus facile à enfiler et à porter contrairement aux autres types de kimonos, mais détrompons-nous, même si on le décrit ainsi, il est parfois difficile de mettre tout seul son yukata, surtout si on le met pour la première fois. Alors, mettez le yukata sur vous, puis:

    1.  Afin de montrer votre nuque pour le positionner, tendez-le derrière la tête vers l’extérieur. Et comme nous le savons déjà que selon la tradition, comme le kimono, le yukata se ferme d’abord avec le pan droit.
    2. Laissez environ 10 cm entre le sol et le yukata et fermez ensuite le pan gauche. Ce dernier sera à 5 cm du sol afin de recouvrir le pan droit.
    3. Sur votre gauche, glissez votre main dans la fente faite par le yukata, au niveau de la taille et serrez bien les deux pans de l’intérieur. Il faut tendre le yukata au maximum pour enlever les plis.
    4. En partant de derrière pour arriver au-devant de la taille, ceinturez le yukata puis nouez de façon à bien ranger les deux bouts dans les plis.
    5. Pour qu'on ne remarque plus aucun pli sur le yukata, lissez bien au niveau du dos et de la poitrine
    6. Prenez un tissu léger assez long, mais cette fois-ci en partant du devant, au niveau de la poitrine et renouez de la même façon que la première tout en lissant après pour enlever les plis.
    7. Enfin, pour fixer le obi, prenez-en un d'environ 40 cm de long et mettez le bout sur l’épaule gauche. Puis enroulez le restant une fois en partant de devant et la deuxième fois en le pliant un peu et en le ramenant au-devant de la taille. Et avec le bout qui est encore sur vos épaules, tirez fort la ceinture devant vous pour la fermer. En le pliant en accordéon, ramenez vers vous le bout gauche qui est le plus long puis pincez toute cette épaisseur de tissu au centre et enroulez-le avec le bout droit resté sur l’épaule gauche : on obtient ainsi un nœud puis retournez-le dans le dos et c'est fait !

    À la découverte du Yukata, le kimono de l'été Japonais
    Un nœud de obi quand c'est réussi

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    2 commentaires
  • Photographier le Japon - Tokyo clash, le choc des cultures.

    Bonjour mes petits fennecs des neiges !

    Aujourd’hui, je vous propose le premier article d’une courte série intitulée “Photographier le Japon” et qui a pour but de vous faire découvrir différents visages de l’archipel, par les quelques ouvrages photographiques que j’ai pu dénicher. J’espère que ces articles vous plairont et vous donneront envie de vous penchez du côté d’un genre de livres qu’on ne pense pas forcément à acheter !

    Le premier livre que j’ai choisi de mettre à l’honneur ici est Tokyo Clash, par Ralf Bähren. Il nous propose ici un panorama complet du Japon, de sa vie quotidienne, de sa popculture : écrit par un occidental pour des occidentaux, l’œuvre nous présente ici des choses banales mais parfois surprenantes pour les étrangers, mais aussi des détails insolites, cachés au fond d’une ruelle peu visitée. Du centre ville au cosplay, en passant par les célèbres pachinko ou encore les néons, l’auteur nous montre le Japon tel qu’il est par des photographies bien choisies et de courts textes explicatifs. Le fait que les titres y soient écrit en japonais puis en français donnent une véritable impression d’immersion.

    Bon, je ne vais pas vous écrire un roman non plus, histoire de ne pas vous gâcher le contenu du livre... Mais sachez qu’il est très intéressant, je l’avait moi-même passé à une amie aussi fan du Japon et elle l’avait beaucoup apprécié. J’avais réussi à me le procurer pour seulement une vingtaine d’euros à la bibliothèque du centre Pompidou à Paris, ce qui n’est pas excessif pour un livre de ce genre... Surtout qu’il se relit sans modération, en attendant de pouvoir aller soi-même au pays du soleil levant.

    Pour conclure tout ça, je vous propose quelques photos du livre, j’avoue avoir choisi les pages un peu au hasard. Pardon pour la qualité des photos, normalement celles que fait mon portable sont pas trop mauvaises mais je n’ai pas encore réussi à apprivoiser les différents modes (ni comment enlever cette fichue sélection automatique d’ailleurs), mais j’espère que cela vous donnera un petit aperçu quand même !

    (Mon lit pas fait est le plus beau tu peux pas test un meilleur fond de photo, mais t'as le droit de cliquer pour agrandir si tu veux bb)

    Photographier le Japon - Tokyo clash, le choc des cultures.  Photographier le Japon - Tokyo clash, le choc des cultures.

    Sur ce, ja nee~ Et on se retrouve un prochain Jeudi pour un nouveau livre photo ! 


    Akari.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Japan Expo : le retour ! Petite technique personnelle pour se faire une place dans le RER B au retour

    Bonjour mes petits fennecs des neiges !

    Comme certain le savent peut-être, j’ai eu la chance de me rendre cette année à Japan Expo, la convention la plus importante en France concernant le Japon. Il ne s’agissait pas de ma première fois à ce festival, puisque j’avais déjà eu l’occasion de m’y rendre deux fois auparavant, il y’a de ça maintenant trois ans... Et maintenant que je suis retourné mourir de chaud dans le Sud, je pense qu’il est temps de faire un petit compte rendu afin de faire découvrir ce festival aux néophytes et de faire le point pour les autres.

    Alors, pour ceux qui viennent d’arriver : Japan Expo, c’est quoi ? Il s’agit d’un festival (dont le prix augmente malheureusement chaque année) réunissant de nombreuses choses autour de la culture Japonaise : on y retrouve entre autre des animations, des activités, des dédicaces et aussi beaucoup de stands qui en veulent pour votre argent. On y trouvait avant le Comic Con, et même si désormais ces deux conventions sont en France entièrement indépendante une de l’autre, on retrouve encore des stands qui étaient avant plutôt dans cette partie de l’exposition avec des goodies dédiés à Game of Thrones, Doctor Who et autres séries télévisées.

    Pour tout avouer, j’ai trouvé que comparé aux autres années, il y’avait beaucoup plus de monde ! Cela choque d’autant plus quand on y va pas plusieurs années d’affilée (le salon se remplissant d’avantage cette année). De plus, il m’a semblé que tout était bien plus grand que les autres années, ce qui m’a valu de me perdre pas mal... Mais bon après le premier jour on prend vite ses repères. Après pour les invités cette année c’était encore bien sympa, j’ai par contre était surprise de ne voir ni Mathieu Sommet ni Antoine Daniel dans le programme (c’est moi où ils n’étaient vraiment pas à la convention ?). Sinon j’ai eu l’occasion de voir François et Raphaël Descraques en vrai, et ça c’était vaaaachement cool !
    Niveau animation je n’ai pas fait grand chose, mis à part la conférence du Visiteur du Futur le premier jour et un concert le dernier. J’ai été agréablement surprise de voir qu’une scène était entièrement dédiée aux animations concernant la culture traditionnelle Japonaise, mais malheureusement je n’ai pas eu l’occasion de m’y rendre... Bouuuuh...

    Niveau argent, le mien s’est comme... Évaporé. Non seulement la plupart des articles sont très chers (je vous raconte pas l’effort de volonté pour ne pas succomber aux magnifiques robes que je n’aurai jamais eu l’occasion de mettre), mais en plus ils font tous très envie... Au total, c’est plus de 200€ qui sont partis en fumée... J’avais entrepris de photographier mon loot tous

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    12 commentaires
  • La radio de l'été des blogueurs

    Bonjour mes petits fennecs des neiges !

    C’est encore avec un article “à thème” que je reviens aujourd’hui puisque ChtiteFourmi m’a convié à participer au projet “La radio de l’été des blogueurs” que vous pouvez découvrir en cliquant ici. Le projet m’avait déjà séduite et c’est donc avec plaisir que je réponds à son invitation !

    Il me faut donc parler d’une chanson qui m’évoque l’été, ou d’une des chansons que je considère comme étant ma chanson de l’été... Damn, c’est qu’il y a foule ! Mais la chanson que je considérerai comme étant ma chanson de l’été 2015 serait Shut up and Dance du groupe Walk the Moon. Pas très original, je vous l’avoue... Mais bon, je ne vous ai pas sorti Happy de Pharrel Williams donc je suppose que j’ai encore un grain originalité en moi ?

    Pourquoi avoir choisi cette chanson, qui ne correspond même pas au style de musique que j’écoute normalement ? Et bien... Parce que le rythme est quand même pas mal entraînant et qu’elle a réussi à se retrouver dans mon mp3 malgré tout. Et qu’est-ce qu’une chanson de l’été, si ce n’est une chanson qui parvient à rester dans la tête, voire à vous faire l’apprécier, sans que vous sachiez vraiment pourquoi, juste parce que c’est l’été ? Je vous le demande. En plus, les paroles rappellent que l’été c’est la fiestaa (même pour moi) et c’est un des grands classiques des chansons estivales. Certes, le clip est un peu kitschos, mais ça fait partie du truc.

    Enfin, si ça fait quelques jours que je pensais à cette chanson pour cet article, je viens de lire le matin dans le Times qu’elle était dans le top 5 des charts de l’été en Outre Atlantique. Pour une fois que je suis à l’heure pour parler des choses, c’est forcément un signe...

    Et pour finir, je "taggue" Nyeh et Queen Paramount. Nha ! (je sais que je fais toujours preuve d'une très grande originalité quant aux personnes que je désigne...)

    Akari.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    5 commentaires