• Akari se met au coréen, épisode 1 
    COMMENT ÇA CE N'EST PAS LE BON PAYS ? LES ASIATIQUES SONT TOUS CHINOIS NON ? ILS SE RESSEMBLENT TELLEMENT OBLIGÉ QUE TOUT SOIT PAREIL 

    Bonjour mes petits fennecs des neiges ! 

    Peut-être ma série d'articles sur le japon viendra-t-elle un jour, mais en attendant, je vous propose un petit racontage de vie en bon et due forme. J'ai trouvé qu'il serait intéressant, de, entre deux révisions pour des partiels, trouver quelque chose de supplémentaire à faire dans ma vie. J'avais il y'a longtemps acquis quelques bases de Japonais, mais avais renoncer à cause des kanjis ; même après être allée au Japon, l'envie de m'y remettre ne m'est pas venue. Du coup, j'ai commencé le coréen. Non pas parce que je regardais une quantité une quantité industrielle de dramas (ce n'est pas le cas), ou parce que j'écoutais de la musique, non. Je m'y suis mis sur un simple coup de tête, parce que je trouvais l'écriture jolie, et puis pourquoi pas, après tout. 

    Cela va faire maintenant trois semaines, du coup je pense qu'il est temps de faire un petit bilan sur ce que j'ai entraperçu de la langue coréenne, histoire de voir si les idées que j'avais en commençant cette langue sont toujours les mêmes ou non.

    Le coréen ressemble assez au japonais : Vrai et Faux.
    Je ne sais pas pourquoi, je pensais que le coréen et le japonais étaient très différents. Et bien, c'est le cas. Mais pas complétement non plus. 
    Certains aspects de la langue sont communs : la structure de la phrase, l'utilisation de particules, l'utilisation de certains verbes, le niveau de langage a adapter à celui à qui l'on parle... Mais d'autres sont très différents : la prononciation, le système d'écriture... En gros, j'ai pu me resservir de mes bases de Japonais, mais sûrement parce que je ne connais pas beaucoup de cette langue. 

    L'alphabet coréen est difficile : Faux.
    L'alphabet coréen est le meilleur alphabet qu'il m'a été donné d'apprendre. Sérieusement. Les formes sont simples, il n'y a pas beaucoup de lettres et ils n'utilisent qu'un seul syllabaire. La lecture des syllabes m'est encore assez malaisée, mais il m'a tout de même fallut nettement moins de temps pour l'assimiler que l'ensemble des hiraganas et katakanas en Japonais. Il faut juste prendre la peine de faire l'effort de l'apprendre (une semaine de boulot dans les transports et c'était bouclé), et de le lire régulièrement. Pour l'anecdote, il a été créé artificiellement par un dirigeant coréen au 15e siècle, ce qui fait qu'il est parfaitement adapté à la langue coréenne.

    La prononciation coréenne est facile : Faux. 
    À part certains sons qui sont pas forcément aisés à reproduire pour nous autres occidentaux, la prononciation des lettres individuelles en coréen n'est pas très difficile. La prononciation des mots et des phrases est par contre une galère sans nom : les lettres et syllabes changent de prononciation en fonction d'où elles sont dans la phrase (sans que ce soit indiqué à l'écrit), certaines choses sautent... Franchement, c'est assez dur. Je pense qu'il faut beaucoup de temps et d'entrainement pour comprendre comment tout cela fonctionne et plus encore pour arriver à le faire. Mais cela ne doit pas vous décourager : l'anglais est aussi plein d'irrégularités, et pourtant, cela n'empêche personne de l'apprendre. 

    En coréen, il y a des caractères chinois : Vrai.
    Et oui ! Les caractères chinois se retrouvent aussi en coréen. Seulement, comparé au Japonais, ils ne sont quasiment pas utilisés. Dans tout un tome de Black Butler que j'ai en coréen, il n'y a qu'un seul hanja (caractère chinoisà dans le titre du manga, contrairement à celui que j'ai en japonais où il en faut au moins quatre kanjis pour arriver à la lire la première case seulement. On les retrouve surtout dans les ouvrages techniques, littéraires, historiques (apparemment), et les noms de lieux. Ce qui ne veut pas dire qu'il faut les négliger ! Non seulement ils apportent du vocabulaire, mais ils font partie de la langue coréenne et de la culture. Savoir les plus importants me paraît le minimum... 
    Si jamais vous avez fait du chinois ou du japonais, ils sont globalement les mêmes, vous n'aurez que les prononciations à réapprendre (pratique !)

    Les ressources pur apprendre le coréen sont difficiles à trouver en français : Vrai
    J'ai fait quelques recherches, et à part le manuel dont je me sers (et encore, sans le workbook, je vous raconte pas la galère), il n'y a pas grand chose. Après, il faut fouiller les sites internets pour trouver des ressources. Je n'ai su qu'en regardant par moi-même qu'il existait des hanjas par exemple, car il ne sont mentionnés nul part dans mon manuel. 

    Enfin, taper au clavier est plus dur en coréen qu'en Japonais, tout simplement parce qu'il n'existe pas de méthode d'entrée adaptée aux claviers des occidentaux, ce qui oblige à acheter des stickers pour mettre sur votre clavier ou à taper avec une photo d'un clavier coréen à côté de vous (huuuum pratique !).  Sur portable rien à redire par contre (si vous n'avez pas un samsung, trouver un clavier coréen sur l'app store est quand même facile), mis à part que le paramètre dudit clavier peut-être difficile quand on débute car les logiciels sont en coréen et ne disposent pas de traduction en anglais. 

    Voilà, je vous en dirais un peu plus la prochaine fois ! Imaginez si je vous avez tout raconté maintenant, je n'aurais plus rien eu à dire pour mes autres articles... Pour l'instant, je sais juste faire quelques phrases, rien à vous apprendre du côté de la langue donc. De toute façon, je ne compte pas vous proposer des cours détaillés, peut-être juste un peu de vocabulaire si y'en a que ça intéresse (y'a Ryuu-chan qui fait du jap aussi donc si jamais du vocabulaire en cette langue vous intéresse aussi faites nous signe on y répondra tel un batman voyant le bat signal). 
    Si certains veulent voir à quoi ressemble cette magnifique langue, sachez qu'il y a un article dessus qui prends la poussière dans ma rubrique apprenons le japonais avec Tomasu. D'ailleurs, ce dernier fait toujours des cours de Japonais, bien plus sérieux et plus documentés, sur son blog. Alors cliquez sur ce lien comme si vous spammiez le bouton F5 lors d'une coupure internet bande de petits rageux ! ♥

    C'est tout pour moi, à la prochaine ! Et surtout, souvenez vous, si vous avez une idée étrange, quelqu'un, quelque part, sur internet, l'a déjà réalisée pour vous.

    Akari se met au coréen, épisode 1

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  • Hibernation

    Je vous informe que ce blog est mis en pause pour une durée indéterminée. Cela ne veut pas dire que je le ferme où que je l'arrête définitivement, juste qu'il n'y aura pas d'article de manière régulière ou autre. Je n'ai ni l'inspiration ni l'envie d'en avoir, et je préfère ne rien publier plutôt que de publier pour publier. 
    Il y a toujours eu des périodes où je disparaissais sans rien publier (souvent en septembre octobre d'ailleurs), considérez juste que j'officialise les choses pour cette fois. 

    Ce blog, depuis quelques temps déjà, c'est moi, mais ce n'est plus moi. C'est étrange. Ça me déplait. Je ne sais pas quoi (en) faire. Je ne sais plus où j'en suis, je n'ai même plus l'envie de de l'ouvrir, ne serait-ce que pour y publier quoi que ce soit ayant rapport avec Eklabugs. Il n'est pas proscrit que je change la formule (sans supprimer les articles) dans les mois à venir. 

    Le blog reste ouvert et je reste présente sur la plateforme (Eklabugs oblige), merci donc de ne pas me retirer de vos partenaires puisque votre bouton reste affiché ici et qu'un service minimum est assuré. 

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  • Eklabugs -

    Bref ! 

    Je sais que je brille tellement par mes absences que je vais bientôt aveugler l'ensemble de la communauté d'Eklablog *insérez ici une blague sur Antoine Daniel*, mais quand même, il m'a semblé  que ce mois-ci Eklabugs avait besoin de moi. Alors je mets la main à la pâte hein. Mais oui, Eklabugs ! C'est un projet avec lequel on vous a tellement spammé qu'on ne ne présente plus, et qu'on aura bientôt plus besoin de présenté, faute de participants. Peut-être est-ce en partie de notre faute (il faut dire que le management de communauté et moi ça fait deux, voire trois : j'ai déjà suffisamment de mal à me manager toute seule), nous ne ne saurons peut-être jamais. Je digresse. Graisse. 

    Ce mois-ci, le thème qui a remporté les élections et : la culture ! Bimbadaboum, ça fait très lourd tout ça. Trop austère comme thème, pour attirer des participations ? Trop fermé ? Pourtant la culture, ce n'est pas un si gros morceau. 

    C'est vrai quoi, quand on parle de "Culture" on pense de suite aux gros pavés de 1500 pages écrit en taille 8 (alors qui si tu fais ça dans un devoir, tu peux être sur que ta note les atteindra pas, les 8); aux Panofsky et autres auteurs aux noms tellement obscurs qu'ils sont inconnus des correcteurs automatiques... Sans parler des musées et bibliothèques, lieux sombres et mystérieux dans lesquels s'amassent la poussière, les bobos et autres gens un peu chelous.  Ce genre de trucs très réjouissants quoi. Outre le fait que tout ça peut parfois être rendu plus fun et qu'un nombre incalculable d'oeuvres parlent de fesses (si tu aimes bien les classiques, vas jeter un oeil aux Boloss des belles lettres, tu ne seras pas déçu), on oublie que la culture, c'est beaucoup plus que ça ! 

    Eklabugs -  
    ET LA LÉGENDE RACONTE QUE L'ÉCUME DES VAGUES ICI REPRÉSENTE LE SPERME - PUTAIN, QUI C'EST QUI ÉCRITS LES HISTOIRES DE L'ART LÀ ?!

    C'est vrai quoi, il y a la pop culture, la culture geek, la culture web... La culture d'un pays aussi. Après tout, il ne s'agit que de choses qu'on acquiert avec l'âge (et l'éducation en fonction), et qui est commun à un groupe de personnes. C'est un peu fourre-tout en somme. Et il y'a tellement à dire sur le sujet. Peut-être que quand tu l'as étudié en classe, le titre de l'assommoir l'assommoir t'a semblé bien décrire ce que tu ressentais en le lisant, je ne sais pas. Mais peut-être que tu es calé(e) quand il s'agit de Doctor Who, le seigneur des anneaux, que sais-je ? Eh bien, c'est un pan de notre culture. Pas celle qu'on apprends en cours, mais quand même. 

    En ce moment, c'est la mode de parler d'identité culturelle, de façon détournée ou pas. Bon, j'ai pas d'exemple un peu insolite en France (sans doute parce que j'y habite), mais parlons du Japon. Ils ont plein d'aspects culturels un peu chiants comme nous - et à côté de ça, y'a les mascottes. Non ! Ne souriez pas ! Enfin si, mais je vous assure que c'est un vrai phénomène. Les Japonais aiment beaucoup les mascottes : les régions en ont, certaines villes, le Tokyo Sky Tree... On peut penser Pikachu comme la mascotte de Nintendo. Et Hello Kitty, vous pensez que ça vient d'où, hein ? Bha voilà. Pour conclure on peut donc dire que les mascottes japonaises coincées dans des portes, c'est culturel. Et bim ! 

    Bref, cet article n'est pas du tout allé dans la direction que j'escomptais, mais bon, tant pis, il a le mérite d'exister. Sur je, je ne sais pas quand je vais revenir étant donné que je n'ai pas eu le courage de finir les deux articles que j'avais entamé... Du coup à bientôt j'espère, et en attendant je vous laisse sur ces images de mascottes japonaises coincées dans des portes.  

    Eklabugs -  Eklabugs -  

    Eklabugs -

     

    Featuring : les pauvres personnes dont le nom va se retrouver associé à cet article
    (j'me demande pourquoi personne participe, après)

    Eyael_
    Projet Eklabugs: La culture de l'impersonnalité

    #Yuki 
    Eklabugs - Septembre 2016 | Culture

    Sname
    [Eklabugs] La musique, ma culture

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  • J'ai conscience que nous avons tendance à flooder un peu sur les réseaux sociaux avec Eklabugs, notre projet de coopération entre blogueurs. Le but : chacun publie, chaque mois, à une date et heure donnée, un article sur un thème commun. Ce mois-ci cependant, silence radio. Et pour cause : ni Nyeh ni moi n'étions disponibles, nous avons laissé carte blanche à notre plus fidèle collaboratrice : Eyael.
    Quel dommage qu'au nombre de participations, j'ai eu l'impression que la plupart d'entre vous n'avaient pas suivis ! C'est regrettable. Je pardonnerai cela en le mettant au compte de l'oisiveté ou des départs en vacances, qui sont le propre de ce mois-ci. 
    Plus d'infos ici !

    Le diable est dans les détails

    On dit souvent que le diable est dans les détails, à raison d'ailleurs. Moi, mon démon, il se situe autre part : dans ma mémoire défaillante. 
    Car oui, vous m'en voyez désolé, mais dame Eyael, il semblerait que je vous ai oubliée. 

    Diable alors ! Palsambleu ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Comment cela a-t-il pu se produire ? Me voilà à une heure de la date limite de rendu, en train d'essayer de combler cette page blanche avec tout ce qui me passe par la tête. Comme si souiller cette blancheur immaculée de ces sombres caractères noirs pouvait m'aider à m'approcher du sujet, à l'effleurer au moins : le malin, l'enfant rebelle de Dieu, qui châtie les pêcheurs dans l'ombre des enfers. Damned. 
    Allez vous me prendre pour un démon, un diablesse, pour vous avoir négligé ainsi, dame Eyaël ?

    Je pourrais trouver un solution de moi-même. Rien ne saurait corriger mon erreur; c'est comme ça que Dieu semble vouloir nous inculquer un peu de savoir. Mais moi, je ne crois pas en Dieu, mais au Diable peut-être un peu plus. Tant que je vis, vous ne serez pas trahie ainsi, quitte à ce que je tombe dans le vice. Comme ces héros de contes populaires qui hantent les quatre coins de la France, je ferais appel aux services du plus grand trompeur. Sauf qu'au lieu de lui demander d'ériger un pont miraculeux, je lui demanderai de m'aider à poser un à un les mots. Quand on y réfléchit, c'est peut-être plus simple pour lui que de manipuler la pierre ; n'est-il pas le plus fin des menteurs ? Les mots sont des briques; par cet article, je viens à présent de créer mon premier pont du diable. Chaque ligne n'est-elle pas une étape de plus rapprochant mon esprit du votre ? 

    Une idée comme ça, c'était plutôt malin, si je puis dire. Remarquez comme j'ai déjà presque terminé mon article. Bientôt, il aura une forme et une longueur potable. Est-ce ce que tu pouvais ? Pour terminer cet article, je n'ai même pas eu besoin de l'aide du Diable - ou bien en ai-e eu besoin ? Je ne sais plus bien, mais mon âme, je la sens au plus profond de moi. Elle est toujours là. 
    Dame Eyaël, je vous prie, voyez au-delà de cet affront; ne coupez pas les ponts. 

    Bon Dieu, il est déjà si tard. C'est à bondir. Permettez-moi de vous laisser là-dessus. Je vous tire mon chapeau bien bas; Eklabugs vous doit tant. 

    Participations : 
    Eyael

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  • Akari au Japon : mise en bouche 
    La station de Kamakura, où nous sommes allées nous promener. Vous en saurez plus bientôt ! 

    Bonjour à tous ! 

    Comme je vous l'avez promis, mes articles sur le Japon arrivent (premier numéro : demain ! sortez les confettis !). Parmi les causes de ce retard, nous pouvons citer entre autres les suivantes, sans aucune mauvaise foi : 

    • excès de flemme 
    • décès d'un des téléphones contenant les photos (ce qui retarda le transfert des autres) 
    • bug subit de mon ordinateur 
    • excès de flemme 
    • excès de nostalgie prost-voyage en voyant les photos
    • besoin d'assurer un rythme comprenant autre chose que mes articles dédiés au Japon sur mon blog (cf "excès de flemme"). 

    Certes, je suis un peu culottée, mais j'ai été honnête avec vous, alors commençons je vous prie. 

    Tout d'abord, sachez que si vous voyagez seuls, le Japon peut être accessible. Ok, il n'est pas à la portée de touts les bourses, je vous l'accorde. Je ne suis moi-même pas riche du tout, et c'est ma mère (smic rpz), qui nous a payé ces vacances que je n'oublierai sans doute jamais... Quitte à ne pas bouger de la maison pendant plusieurs étés. Ça valait le coup. 

    Pour les petits détails techniques, sachez que nous avons effectué à peu près 35h de trajet à l'aller et un peu moins au retour... Autant vous dire que le premier soir en arrivant, nous étions complétement claqués, en plus du décalage horaire ! Nous avons fait escale à Doha, qui est sans doute l'aéroport le plus froid et austère du monde quand on a pas 50€/personne à claquer pour aller se poser aux espaces réservés aux premières classes/gens munies de mastercards/autres qui paient. Il existe des vols directs qui permettent de relier Paris-Tokyo en environ 9h de vol, mais ils triplent de prix en saison, le seul moment où nous pouvions partir... En plus, nous habitons à l'autre bout de la France, ce qui rallonge beaucoup les temps de trajet.
    La première chose que nous avons fait en arrivant à Tokyo, c'est du bus. Beaucoup de bus (et un peu de train) En effet, c'est la solution la plus pratique pour se rendre de l'aéroport à la banlieue proche... Car se loger à l'économie comme nous l'avons fait implique aussi beaucoup de coûts de transports. 

    Nous sommes parties au Japon pendant la saison des pluies, ce qui ne nous a pas épargné l'humidité mais nous a au moins préservées de la chaleur étouffante ! Malheureusement, nous n'avons pas pu voir une seule fois le mont Fuji à cause du mauvais temps... Il était portant visible de la petite ville où nous logions : Komae (狛江). Une municipalité charmante avec son temple, sa gare de trains, son konbini ses cigales et ses japonais, que nous visiterons plus en détail prochainement. 
    Gustativement, je vous avouerai que même en se contentant de ce qui est disponible dans les konbinis (superettes ouvertes 24h/24, 7j/7), c'est assez dépaysant. Pas la peine d'emporter un quelconque sandwich ou bento, car les petits restaurants sont trouvables à peu près partout et très abordable. Nous avons fait certains repas pour moins de 8€ pour trois personnes, en y mangeant copieusement ! Seul un quartier nous a posé de réels problèmes pour trouver à manger... Il s'agit de Marunouchi, le quartier d'affaires. Et encore, c'est parce que nous ne voulions pas manger quelque chose qui soit trop occidental !

    Akari au Japon : mise en bouche 
    Héééé sexy lady

    L'avantage, si on peut dire ça comme ça, de loger en banlieue, c'est qu'on peut pleinement profiter de l'excellent système ferroviaire Japonais ! C'est à peine ironique : nos 45 minutes de transport ont rarement été vraiment désagréable... Le train est parfaitement à l'heure (nous n'avons constaté qu'un seul retard de 3 minutes, dont nous avons été avertis), les passagers bien rangés sur le quai, ils freinent en douceur (quand on est habitués au chauffeurs d'ici, pas besoin de se tenir !)... Le wagon était d'ailleurs plusieurs fois COMPLÉTEMENT silencieux, mêmes aux heures les plus blindées, et le tout, niquel. Quand on voit ça, on se dit que les touristes nippon doivent trouver notre RER vachement archaïque, et c'est peu dire. Malheureusement, nous dépendions d'une ligne privée (la Odakyu line), ce qui augmentait assez le prix des transports à la sortie... Car à Tokyo, on paie ses trajets à la longueur, en ajoutant des frais de transfert à chaque changement de compagnie. Ouf! 
    D'ailleurs, tant que nous y sommes avec les trains, sachez que le notre avait trois possibilités : un express (qui dessert toutes les stations), un semi express et un local. J'ai cru comprendre qu'il en était de même pour d'autres, mais nous n'avons pas eu l'occasion de les prendre...Et pour ceux qui se demanderaient, se retrouver dans le dédale du métro japonais n'est pas si compliqué, à condition de savoir où l'on va. Les gens sont vraiment sympa, et même si tous ne parlent pas bien anglais il est souvent possible de se faire comprendre ou de trouver quelqu'un qui le fera. En plus, les indications sont aussi données en romaji et les annonces importantes faites en anglais...

    Akari au Japon : mise en bouche 
    Si vous arrivez à trouver Komae, je vous offre un cookie.

    L'avantage d'une ligne qui vous fait arriver directement à Shinjuku, c'est que, en plus de rendre toutes vos correspondances très faciles, cela fait une visite toute trouvée pour le premier jour ! Et pensez vous nous avions bien profité de l'occasion. Vous aussi, vous en profiterez : mais pour cela, vous devrez attendre demain ♥

    Merci de m'avoir lu jusqu'au bout, et comme vous l'aurez peut-être deviné : I like trains.

    i like trains

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