Vous souveniez vous de Super Carotte ?

Mais oui ! Cet article que j'ai écrit il y'a bien longtemps déjà, qui racontait l'histoire d'une carotte de l'espace venue sur Terre, qui décida de réparer les injustices qui sévissaient entre les légumes et les humains. Toujours pas ??? Bref, un malheur n'arrivant jamais seul, j'ai le plaisir de vous annoncer que j'ai écrit une suite ! C'est court, c'est a peu près aussi naze que l'original et le niveau intellectuel de cette suite est a peu près le même, mais c'est bel et bien là. 

Sur ce~

Après quelques jours passés sur cette étrange planète, je dû me rendre à l’évidence : protéger les carottes ne serait pas du tout une tâche facile. Surtout que autochtones, bien que tuant allégrement de nombreux légumes et membres d’espèces diverses, n’étaient pas très tolérant quand il s’agissait de représentants de leurs tribus. Alors que je prenais ma douche (cette corvée est assez humiliante quand même, mais elle me semble quand même un des rites obligatoires à tout humain et j’ai bien peu de ce qui pourrait m’arriver si jamais je ne le faisais pas un jour), l’idée me vint. 

Si je ne pouvais pas éliminer les humain, je n’avais cas faire en sorte que les légumes puissent s’exprimer ! Surtout que l’extermination me paraissait de moins en moins faisable après avoir vu comment les humains avaient triomphé des aliens dans des épisodes d’une série historique, Doctor Who.

Grâce à des ingrédients typiquement carottiens ramenés de ma planète d’origine, je réussi à faire une potion qui me paraissait assez convaincante. Administrée dans l’eau courante, elle me permettrait enfin de rétablir la justice ! Satisfaite de mon idée machiavélique, je fis volontairement tomber une bonne partie de ma potion dans une rivière proche... MUAHAHAHAHA, ils allaient voir ce qu’ils allaient voir ! D’ici une a deux semaines, les légumes se mettraient à parler sans qu’ils puissent faire quoi que ce soit pour les en empêcher et ils n’arriveraient donc plus à les manger ! 

Justice était faite ! À présent, je pouvais enfin me consacrer à l’étude des humains (ils font une très bonne substance dénommée chocolat, j’aime vraiment ça !) et vaquer à mes obligations habituelles. À moins que...