-
Coup de coeur ♥
Retrouvez le pire et le meilleur de mes découvertes internet ici ! :3
-
Par Mrs Swadloon le 8 Juin 2016 à 23:14
Bonjour mes petits fennecs des neiges !
Aujourd'hui, je vous invite à franchir avec moi la barrière des langues en jetant un oeil à une chaîne Youtube du nom de Google Translate Sings. Le principe est simple, mais efficace : on prend les paroles de chansons connues, on les passe à travers plusieurs langues d'origines diverses avant de les retraduire vers leur langue originale... L'objectif ? Montrer les failles du logiciel (comme si nos profs de langue ne nous l'avaient suffisamment pas répété...), tout en suscitant le rire et l'incompréhension. Car on ne va pas se mentir : entre les traductions littérales et les multiples traductions, certaines paroles prennent un sens plutôt... Étrange. Trêve de bavardage, je vous laisse découvrir ça.
Voilà voilà, c'est tout pour aujourd'hui :) On se revoit bientôt pour un article plus travaillé... Sans doute ?
3 commentaires -
Par Mrs Swadloon le 27 Juin 2015 à 15:27
Bonjour mes petits fennecs des neiges !
C’est encore avec un article “à thème” que je reviens aujourd’hui puisque ChtiteFourmi m’a convié à participer au projet “La radio de l’été des blogueurs” que vous pouvez découvrir en cliquant ici. Le projet m’avait déjà séduite et c’est donc avec plaisir que je réponds à son invitation !
Il me faut donc parler d’une chanson qui m’évoque l’été, ou d’une des chansons que je considère comme étant ma chanson de l’été... Damn, c’est qu’il y a foule ! Mais la chanson que je considérerai comme étant ma chanson de l’été 2015 serait Shut up and Dance du groupe Walk the Moon. Pas très original, je vous l’avoue... Mais bon, je ne vous ai pas sorti Happy de Pharrel Williams donc je suppose que j’ai encore un grain originalité en moi ?
Pourquoi avoir choisi cette chanson, qui ne correspond même pas au style de musique que j’écoute normalement ? Et bien... Parce que le rythme est quand même pas mal entraînant et qu’elle a réussi à se retrouver dans mon mp3 malgré tout. Et qu’est-ce qu’une chanson de l’été, si ce n’est une chanson qui parvient à rester dans la tête, voire à vous faire l’apprécier, sans que vous sachiez vraiment pourquoi, juste parce que c’est l’été ? Je vous le demande. En plus, les paroles rappellent que l’été c’est la fiestaa (même pour moi) et c’est un des grands classiques des chansons estivales. Certes, le clip est un peu kitschos, mais ça fait partie du truc.
Enfin, si ça fait quelques jours que je pensais à cette chanson pour cet article, je viens de lire le matin dans le Times qu’elle était dans le top 5 des charts de l’été en Outre Atlantique. Pour une fois que je suis à l’heure pour parler des choses, c’est forcément un signe...
Et pour finir, je "taggue" Nyeh et Queen Paramount. Nha ! (je sais que je fais toujours preuve d'une très grande originalité quant aux personnes que je désigne...)
Akari.
5 commentaires -
Par Mrs Swadloon le 26 Mai 2015 à 18:14
Ci-dessus, un jeune homme découvrant l'arrière de l'anatomie humaine... Et oui coco, c'est là qu'ils vont, les suppositoires.
(clique sur l'image pour gagner un ipad gratuit)*Bonjour mes petits fennecs des neiges !
En cette période de révisions assidues pour le baccalauréat (bizarre qu’on doive le travailler autant, je pensais qu’ils le donnaient à n’importe qui de nos jours !), j’ai décidé de faire une petite pause sur trou noir de productivité qu’est Youtube... Et au détour d’une chute plutôt douloureuse impliquant un chat, un rebord de fenêtre et un sursaut violent, j’ai fait un véritable voyage dans le temps, tardis en moins. Qui se souvient des vidéos qui ont fait le buzz il y’a de ça quelques années ? Surtout pas moi, poisson rouge de première classe. Et pourtant, pendant quelques mois, on nous a bassiné avec ces vidéos, partout : a la télé, à la radio, sur le net, tout le monde en parlait. Pas forcément à raison, quand quelques années plus tard, on les redécouvre... Mais pourquoi tout le monde en parlait-il ? Mystère.
Bref, c’est ainsi que j’ai redécouvert Gangnam Style, la vidéo de psy qui avait fait un buzz planétaire. Pour ceux qui l’auraient oublié, c’est ici que ça se passe :
Les ingrédients de cette chanson aux allures d’apocalypse maya ? Du booty, des paroles ordinaires mais strictement incompréhensible, du booty et surtout... Du what the fuck à grand budget qui n’a rien à envier aux vidéos présentées par Antoine Daniel dans certaines de ses vidéos. Pourquoi le gars sort-il de nul part dans un jacuzzi ? Pourquoi danser ainsi dans un ascenseur ? Et surtout pourquoi avoir engagé ce chorégraphe alors que son casier judiciaire est sûrement chargé (y’a cas voir sa tête) ? Pourquoi une écurie ? Tant de questions qui aujourd’hui encore, restent sans réponses. Si certains y voient une critique politique des classes aisées nord coréennes, j’avoue ne voir qu’un énième clip... Le pire, c’est que si les fans de K-pop s’indignaient déjà de ne voir leur genre préféré connu que par Psy dans nos contrées, le buzz s’est vite essoufflé, puisque Gentlemen de Psy n’a pas réussi à percer dans nos contrées... Dommage, puisque cette chanson nous permettait notamment d’entendre un coréen se risquer à prononcer “Motherfucker”, ce qui est en soit quelque chose qu’il faut avoir entendu au moins dans une vie.
Voilà voilà, j’espère que comme moi vous avez aussi eu l’occasion de déterrer un truc que vous aviez oublié, jusqu’à ce que vous vous retrouviez devant l’équivalent futuriste de la télévision à regarder ce clip d’un air nostalgique dans Génération top 50, couverture sur les genoux et petits enfants derrière vous... Si vous ne finissez tout simplement pas seuls avec votre chat, ce qui risque d’arriver à environ 90% puisque vous lisez ce blog (désolé). Sur ce, je vous laisse, chers survivants de la fin du monde et du poussin piou.
Et rappelez vous, parler des trucs qui buzzent en même temps que tout le monde, c’est pour les gens branchés. C’est à dire pas toi. Bisous.
Akari.
PS : Cet article ayant été programmé, je serais probablement à l'heure de sa publication en train de me chier dessus à l'idée de passer mon oral d'arts plastiques, alors faites un petit sacrifice humain (ou alors brûle un cierge si t'as pas assez de courage pour faire un sacrifice, saleté) en pensant à moi s'il vous plaît ! ♥♥♥
*Pigeon.
15 commentaires -
Par Mrs Swadloon le 11 Avril 2015 à 16:56
Bonjour mes petits fennecs des neiges !
Je vous avertis : cet article risque de contenir une pointe de fangirlisme et des restes de ma vieille fatigue d'hier et de mes courbatures... Si jamais vous lisez quelque chose de bizarre, n'hésitez pas à me le faire remarquer ! Sinon, je sais bien qu'il ne s'agit pas du thème "habituel" de mon blog mais... Je suis bien allée voir ce groupe en concert quatre fois, et pas un seul article à leur sujet sur mon blog ! Damn. Il était donc temps de remédier à ça...
Si vous n'êtes pas trop "concerts", aller voir quatre fois un groupe en deux ans, ça peut peut-être vous paraître un peu beaucoup... Alors qu'en fait, pas tant que ça. L'avantage des concerts de Shaka Ponk, c'est qu'ils ont vraiment une pêche d'enfer ! En plus, leurs premières parties sont généralement plutôt coolos... J'avoue ne pas me souvenir de celle du dernière concert que j'ai vu, mais cette fois-ci ils avaient accueilli Ina-ich, un petit groupe bien cool et bien péchu ! Si vous voulez les découvrir, je me souviens bien de ces deux chansons qu'ils ont joué :
Mais évidemment, la première partie n'est qu'un "échauffement"... Même si le groupe était vraiment sympa (dommage que les gens ne s'impliquent pas plus dans les premières parties ! J'ai juste envie de buter ce qui en profitent pour aller aux toilettes ou pour naviguer encore un peu plus sur leur smartphones), en voyant Shaka Ponk débarquer, on se rend bien compte que le plus gros du spectacle est encore à venir... Et pour cause, en commençant le show par Blacklisted (comme à chaque fois en fait ♥), y'a de quoi mettre le feu à la salle ! SI à Toulouse, les trois quarts des gens étaient restés assis bien confortablement dans leurs sièges (sérieusement Toulouse ? SÉRIEUSEMENT ?!), ici, tout le monde ou presque est debout ! Parce qu'ils faut le dire, les Shaka Ponk, c'est quand même des bêtes de scène... Un spectacle visuel bien travaillé sur plein de chansons, notamment les moins dansantes, qui permettent d'occuper le spectateur qui n'est plus en train de sauter comme un dingue... Mais c'est aussi une musique qui a une pêche d'enfer, accompagnée de gars qui ont encore plus la pêche (c'est possible !) qui donnent tout ce qu'ils ont à un public qui le leur rend bien. Ce qui fait d'ailleurs la différence des concerts de Shaka Ponk par rapport à d'autres groupes connus (comme Rammstein, que j'ai aussi été voir à Montpellier ! ♥), c'est le rapport qu'ils ont avec le public ! Ils font vraiment tout pour mettre le feu et faire qu'il y'ait une bonne ambiance... D'ailleurs, pour ceux qui ont eu la chance d'aller à un de leurs concerts, vous vous souvenez sûrement du coup de "assaillez vous, car une loi de la physique indique que ça permet de sauter encore plus haut"... Suivant suivi d'une théorie quant aux problèmes sexuels des personnes qui restent debout. Ça a peut l'air simple, mais en vrai ça marche à chaque fois et c'est vrai que c'est plutôt cool. Sans parler de certaines chansons qui suffisent en elles même à foutre le feu...
Les chansons ci-dessus sont des exemples choisis qui sont toujours géniales en concert ! Après y'en a plein d'autres qui sont génialissismes mais moins jouées en concert... Si jamais vous êtes un peu curieux n'hésitez pas à parcourir leur chaîne Youtube qui regorge de titres géniaux ! D'ailleurs c'est la première fois que je les partage avec des gens, à cause du théorème débile du "si quelqu'un te fais écouter une chanson c'est qu'elle représente exactement les sentiments qu'elle a pour toi lolilol !"... Y'a pas besoin de parler beaucoup anglais pour comprendre pourquoi donc).
Attendez une seconde : étais-je sur le point d'oser parler d'un concert de Shaka Ponk sans parler des éternels bains de foule du chanteur ? À croire qu'il en raffole : a chaque fois, il s'en fait au moins trois, au calme. Cette fois-ci, le final du concert à vu tout le monde plonger dans la foule après lui : la chanteuse, le photographe, le me de la sécurité... C'était plutôt énorme ! Et après je me demande pourquoi ma mère a peur que j'aille dans la fosse...
(Photo : @TWIT4SHKPNK)Mais réduire Shaka Ponk à ses concerts enflammés serait une erreur. Puisqu'on y est, laissez moi terminer cet article par une présentation du groupe, qui n'est pas spécialement médiatisé... Ceux qui connaissent l'historique du groupe le savent bien : si quelques clips sont passés à la télévision, il ne vaut mieux pas s'attendre à entendre un de leurs titres à la radio... Et si la presse s'y intéresse un peu ces dernières années (sûrement la faute à My Name is Stain qui est la seule de leurs musiques à être passée sur Nrj à ma connaissance), ce n'était pas le cas avant. D'où la fréquence des concerts et le fait que les fans répondent toujours présents : c'est quasiment ça qui leur a permis d'être connus à l'heure actuelle... (leur premier album vraiment médiatique est sorti en 2011, alors que leur premier date de 2005 ! Si c'est pas de la persévérance !)
Pourtant, Shaka Ponk est un groupe complet : les graphismes élaborés de leurs clips ? Ils font tout eux mêmes ! Comme Frah, le chanteur du groupe, était anciennement web designer, il maîtrise le graphisme... La mascotte de leur groupe ? C'est aussi eux qui l'ont inventée ! Si on reproche le manque de créativité de l'industrie du divertissement actuelle, je peux vous assurer que Shaka Ponk est une exception à la règle, que vous les aimez, ou pas...
Niveau musical, les genres sont ici aussi variés... J'avoue que j'ai beaucoup du mal à le décrire. En plus du rock, du punk et du funk, wikipédia m'indique qu'il y'a aussi du hip hop... Mais en écoutant bien certaines de leurs musiques, on se rend compte que les influences sont encore bien plus nombreuses. Ainsi, je suis quasiment sûre qu'il y'a quelques traces de Reggae dans Time has come... (qui nous donne d'ailleurs l'occasion de les voir assis et pas en train de sauter partout, ça change.)
Enfin, leurs concerts donnent l'occasion de voyager quelques temps dans un autre pays : on y parle français, mais pas seulement ! Le chanteur s'adresse aussi à nous en anglais et en espagnol, avec parfois les trois langues mélangées en l'espace de peu de temps. Et je peux vous le dire : ça ajoute encore au groupe un petit côté... Non, en fait, je n'ai même pas les mots. Je ne suis pas sûre qu'il y'en ai qui permettent de décrire avec exactitude le Shaka Ponk : que ce soit dans leurs ambiances ou dans leur musique. Et ma foi, c'est ce qui les rend géniaux.
10 commentaires -
Par Mrs Swadloon le 29 Novembre 2014 à 17:45
Bonjour mes petits fennecs des neiges !
Je vous livre un petit article express, car je suis tombée sur ce clip sur Mtv l'autre jour et franchement je l'ai adoré car il respire la joie de vivre ! (la musique aussi : idéale pour vos playlist de motivation ou spécial remontage de moral). Du coup je partage avec vous ^^ En tous cas, Ian McKellen est juste excellent et adorable dans cette vidéo, on a presque envie d'avoir le même à la maison. En plus ça change des meufs qui dansent autour d'une piscine niveau clip ! ♥
Remarquez qu'il s'agit bien d'un artiste britannique et non américain ! C'est toujours bon à savoir ~
Et hop, je partage les paroles !
"Listen To The Man"
I feel your head resting heavy on your single bed
I want to hear all about it
Get it all of your chest, oh
I feel the tears and you’re not alone, oh
When I hold you, well I won’t let go, oh
Why should we care for what they’re selling us anyway?
We’re so younger than you know, whoa
You don’t have to be there, babe
You don’t have to be scared, babe
You don’t need of plan of what you wanna do
Won’t you listen to the man that’s loving you
Your world keeps spinning and you can’t jump off
But I will catch you if you fall I can’t tell you enough
I hate to hear that you’re feeling low
I hate to hear that you won’t come home
Why should we care for what they’re selling us anyway?
We’re so younger than you know, whoa
You don’t have to be there, babe
You don’t have to be scared, babe
You don’t need of plan of what you wanna do
Won’t you listen to the man that’s loving you, whoa, whoa, whoa.
Easy, easy and a one, two, three, oh
Easy, breazy if you come with me, oh
Easy, easy and a one, two, three, four, five, six, seven eight, nine, nine, nine, nine.
You don’t have to be there, babe
You don’t have to be scared, babe
You don’t need of plan of what you wanna do
Won’t you listen to the man that’s loving you, whoa, whoa, whoa
You don’t have to be there, babe
You don’t have to be scared, babe
You don’t need of plan of what you wanna do
Won’t you listen to the man that’s loving you, whoa, whoa, whoaVoilà voilà ! En plus je sais pas pourquoi, mais les paroles de cette chanson me font étrangement penser à celle de Tom Waits Come up to the House... Bref.
D'ailleurs c'est fou comme je parle des artistes que je découvre par hasard mais jamais des artistes dont je suis une fan absolue. Diantre alors.
10 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique